Prédication Un Absolu de William Branham a été prêchée 63-1201M

«(163) Je me souviens lorsque saint Martin… Je lisais à son sujet. Alors qu’il n’était qu’un–un jeune garçon, il a été appelé de Dieu. Les membres de sa famille étaient des païens. Et son père était–était un genre de, oh ! je ne sais pas, je pense, un soldat, et–et il était de coutume que leurs jeunes gens les suivent. Il a dit… un jour, il parcourait la ville là. J’oublie où c’était donc. Et je pense qu’il était un Français. Et il dit qu’il franchissait un portail. Il y avait là un vieil homme qui gelait à mort, par un temps de grand froid. Les gens passaient sans rien lui donner. Et il dit qu’il s’est arrêté. Et les gens qui se disaient croyants passaient, laissant le vieil homme couché là. Et il mendiait quelque chose pour se couvrir, disant qu’il gelait à mort. (164) Et saint Martin s’est avancé là ; c’était avant sa conversion. Eh bien, il a ôté son propre manteau (c’était un soldat), l’a découpé en deux, en a revêtu ce vieux mendiant comme cela et s’est couvert d’un autre morceau. Des gens se sont moqués de lui, disant : « Un drôle de soldat avec un morceau de manteau ! » Voyez, cela vous fait faire des choses étranges. Il avait en lui quelque chose qui lui faisait croire que Dieu existait. (165) Cette nuit-là, après s’être retiré et s’être endormi un peu, il s’est réveillé. Quelqu’un l’avait réveillé, il a regardé : Debout, à côté de son lit, se tenait Jésus enveloppé de cet autre morceau de manteau. C’était le début pour saint Martin. (166) Qu’était-ce ? Il avait eu un absolu, que la Parole de Dieu est vraie. « Ce que vous faites à l’un de Mes petits enfants, c’est à Moi que vous le faites. »